Martin Robert de Bel Air Aviation remporte un prix!

Depuis 1973, l’International Seaplane Fly-In de Greenville, événement annuel dans l’État du Maine, É.-U., est un grand rassemblement de pilotes et d’hydravions qui proviennent de partout en Amérique du Nord. C’est un week-end spécial qui aide à promouvoir les contacts entre pilotes et leur sens de la compétition entre eux. C’est sans oublier le sens récréatif donné pour les passionnés d’aviation de pouvoir visualiser les performances des pilotes d’hydravions classiques ou expérimentaux.

De gauche à droite, mes commanditaires : André Héon, Caisse Desjardins; Daniel Robert, Marmen Énergie; Francis Paquin, Groupe CLR; Matt Sigfrinius, Aerocet; Martin Robert, Seapass Aviation, Bel Air Aviation; Brinly Peck, Peck Aero

Lors du dernier événement, un pilote québécois, Martin Robert de Bel Air Aviation, s’est illustré en méritant un prix, soit la première place dans la catégorie 230 hp+ et plus. Le magazine Aviation est fier de vous présenter une interview réalisée avec ce pilote émérite, Martin  Robert, représentant chez Bel Air Aviation, compagnie située à Lac-à-la-Tortue (Québec).

Ma finale, par Martin Robert.

Magazine Aviation :

Depuis combien de temps êtes-vous pilote et combien d’heures avez-vous cumulées comme pilote d’hydravion?

Martin Robert :

Depuis 22 ans. J’ai cumulé 5000 heures sur des hydravions tels les Cessna 172, Cessna 180, Cessna 185, Cessna 206 et Beaver DHC-2.

 

M.A. : Depuis combien de temps participez-vous à ces compétitions?

M.R.  : Depuis 10 ans, sans succès, sauf cette année!

 

M.A. : Quel fut votre première impression lors de votre accueil à cet événement si prisé?

M.R. : Le fait d’être respecté par les pilotes américains. Mais il faut penser comme les Américains (Think Big!) car ils vont à ces compétitions pour gagner!

 

M.A. : Comment décrire votre participation à ce concours?

M.R.  : Beaucoup de fierté et avoir fait bonne figure.

 

M.A. : Quelles ont été vos contraintes ou votre défi face au concours?

M.R.  : J’avais peur de mal comprendre les instructions données par le « AIR BOSS » au moment de la compétition. Lire… anglais versus français… plus le stress…

 

M.A. : Quel fut votre « feeling » lors de la réception de votre prix?

M.R. : Très bon « feeling » devant 350 personnes. Se faire féliciter, même si l’annonceur explique que j’ai gagné avec un avion américain.

 

M.A. : Quels souvenirs spéciaux rapportez-vous de cette compétition?

M.R.  : D’abord, le trophée de la PREMIÈRE PLACE, catégorie 230 hp+. En plus, de bonnes photos et surtout se faire reconnaître pour nos qualités de pilote, et ce, de toutes parts à cet endroit. C’est plaisant!

 

M.A. : Pour votre aimable courtoisie et vos photographies, merci, Martin Robert!

 

Vue partielle de l’assistance de 5000 personnes en 3 jours et 200 hydravions.

Seulement pour cette compétition, Brad Liby, 35 ans, a investi 500 000 $ sur un Cessna 185 qui décolle en moins de 5 secondes.